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CCedric

Sarah Wynn-Williams, ancienne salariée de Facebook, aujourd'hui Meta, publie un livre intitulé "Careless People" dans lequel elle dénonce l'environnement de travail difficile au sein de l'entreprise. Elle y raconte avoir été malmenée par ses supérieurs pendant ses accouchements, révélant ainsi des pratiques inacceptables au sein de la société. Son témoignage met en lumière des problèmes graves liés à la culture d'entreprise.

fFlavie

Meta, la société mère de Facebook, est confrontée à un procès aux États-Unis, prévu pour le lundi 14 avril. L'autorité américaine de la concurrence accuse Meta d'avoir illégalement acquis des concurrents, notamment WhatsApp et Instagram, dans le but de dominer le marché. Ce procès pourrait entraîner des conséquences significatives pour l'entreprise, notamment un démantèlement potentiel de ses activités.

pPat

Meta, dirigé par Mark Zuckerberg, doit comparaître le 14 avril pour répondre à des accusations concernant sa position dominante sur le marché. Le procès met en lumière le rachat d'Instagram et de WhatsApp, qui aurait permis à l'entreprise de renforcer son pouvoir. Ce procès survient alors que Zuckerberg soutient le nouveau président Donald Trump, ajoutant une dimension politique à cette affaire.

TTristan

La Haute Cour de Nairobi a déclaré la justice kényane compétente pour poursuivre Meta, le géant américain des réseaux sociaux. Cette décision fait suite à un recours de Meta, qui soutenait que la justice du Kenya ne pouvait pas la juger. L'affaire remonte à 2022, lorsque deux ressortissants éthiopiens ont porté plainte contre Facebook, l'accusant d'avoir propagé des messages de haine durant la guerre du Tigré.

IIoannis

Meta a conclu un accord avec une activiste britannique qui avait porté plainte en novembre 2022 pour violation de son consentement concernant la collecte de ses données personnelles. Cette plainte a été déposée devant la Haute cour du Royaume-Uni. En conséquence, Meta s'est engagé à cesser ses publicités ciblées à son égard, selon des informations rapportées par The Guardian.

GGaylord

Meta, le groupe américain, fait face à des poursuites en France pour violation des droits d'auteur. Les organisations représentant les éditeurs et auteurs français ont annoncé le 12 mars qu'elles intégraient des actions légales contre l'entreprise. Ces poursuites sont motivées par l'utilisation des livres de ces auteurs pour développer des applications d'intelligence artificielle générative.

PPascale

Meta a obtenu une victoire préliminaire contre Sarah Wynn-Williams, une ancienne cadre politique devenue lanceuse d'alerte. La société technologique a déposé une motion d'urgence auprès d'un arbitre pour interrompre la promotion de son mémoire. L'arbitre a ordonné à Wynn-Williams de cesser immédiatement de faire des commentaires sur Meta et d'arrêter la publication et la distribution de son livre. Cependant, l'éditeur a exprimé son indignation face aux actions de Meta et n'a pas l'intention de stopper la promotion de l'ouvrage.

OOlivia

Des éditeurs français ont décidé de poursuivre Meta en justice pour l'utilisation non autorisée d'œuvres protégées par le droit d’auteur. Cette action vise à contester l'exploitation de ces œuvres dans le cadre du développement du modèle d'intelligence artificielle de l'entreprise. À ce jour, aucune estimation du préjudice n'a été communiquée.

CCATHERINE

Selon une ex-directrice des affaires publiques, Facebook aurait envisagé de permettre à Pékin d'accéder aux données de ses utilisateurs en Chine. Cette déclaration a suscité une réaction de Meta, qui a qualifié ces allégations de « fausses accusations » visant ses dirigeants. L'entreprise se défend ainsi face à des accusations qui soulèvent des préoccupations concernant la protection des données et la transparence.

fFahd

Meta et Apple pourraient faire face à des amendes pour non-respect du règlement sur les marchés numériques (DMA) en Europe. Cependant, les sanctions financières envisagées ne seraient pas excessives, l'objectif de Bruxelles étant de garantir que ces grandes entreprises respectent la législation en vigueur. Parallèlement, les États-Unis, sous la présidence de Donald Trump, expriment des préoccupations à l'égard des actions de l'UE.